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Essais

Atterrissage des oies des neiges

Atterrissage des oies des neiges

Les goélands

Les goélands

Le corridor de l'éternité I

Le corridor de l'éternité I

Le corridor de l'éternité II

Le corridor de l'éternité II

Le clin d'oeil

Le clin d'oeil

Vallée à St-Joseph

Vallée à St-Joseph

Pluie sur la ville II

Pluie sur la ville II

Port-au-Persil

Port-au-Persil

Balade nocturne I

Balade nocturne I

Comme tout artiste libre, il arrive à Edwin Bourget d’explorer des territoires nouveaux, de chercher une nouvelle « musique », une nouvelle « note », de sortir de l’impasse qui inévitablement se trouve sur son chemin, donc de faire des « essais » artistiques. Certains de ces essais sont présentés ici.

En 2013, l’artiste autodidacte réalise une trentaine de tableaux sur l’hiver québécois, tableaux dominés par les blancs et les bleus. Au terme de cet exercice, il ne peut s’arracher à la dominance de ces deux couleurs. Pour exorciser cette compulsion, il décide de retourner aux représentations n’utilisant plus que le blanc et ses variations de valeurs sur fond noir. Il en a résulté une série d’œuvres uniques réalisées à la gouache. Les tableaux de la série « Nocturnes », entièrement monochromes, sont donc marqués par l’absence de couleur. Ils tirent maintenant leur inspiration non plus seulement dans les paysages forestiers mais aussi et surtout dans l’humain. Les dessins ainsi réalisés laissent à l’observateur l’impression que la couleur des objets et des personnes n’est là que pour distraire, qu’elle est inutile pour représenter et donner vie aux personnages.

 

« Je peins en autodidacte depuis longtemps presque toujours en utilisant la couleur. Pour réaliser cette série, la couleur ne m’a pas manqué. Je m’interroge beaucoup d’ailleurs à son sujet. Présentement, ce sont les variations des blancs, des gris et des formes qui me sont importantes pour représenter et donner vie aux personnages,  aux objets et aux paysages. Mes dessins, monochromes, marqués par le blanc et ses variations de valeurs et l’absence de couleur, tirent leur inspiration non plus seulement dans les paysages forestiers mais aussi dans l’humain.»  Québec, août  2014.

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